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Dans mes sacoches

Mes expériences précédentes de cyclotourisme m’ont appris certaines règles essentielles : voyager léger, ne pas lésiner sur la qualité et s’entourer d’objets significatifs.

Voyager léger :
Pour un long voyage (environ 13 mois) qui comptabilise somme toute un bon nombre de dénivelés,  chaque gramme se doit d’être réfléchi et justifié. Voici donc le contenu de mes bagages :
– mes deux sacoches arrière (Arkel, imperméables, 35 litres) accueillent des vêtements quatre saisons, des pièces de vélo et mon matériel technique (mac book, chargeurs, câbles, etc.) ;
– un sac à tube imperméable, maintenu sur mon porte-bagage à l’aide de sangles, permet de centraliser mon matériel de campement (tente, sac de couchage et matelas de sol) en un seul et même espace accessible rapidement, facilitant l’installation de mon refuge nomade quant sera venu le temps de poser mes bagages pour la nuit ;
– mes deux sacoches avant (Arkel, non imperméables, 28 litres) sont quant à elles remplies de nourritures et épices, d’équipements de cuisine et d’autres petits éléments bien utiles pour le cyclotourisme (cordes, trousse de secours, lampe frontale, etc.) ;
– une petite sacoche de guidon (Ortlieb, toile enduite de polyuréthane, 7 litres) pour les objets de valeurs vient compléter le tout, avec quelques petites collations à porter de main.

Ne pas lésiner sur la qualité :
Considérant que je serai en itinérance durant plus d’un an, avec au programme de belles journées de vélo, les nuits doivent être les plus ressourçantes possible afin de bien récupérer et de garder mon rythme de croisière ! La météo est imprévisible (pluie, vent, etc.) tout comme les conditions de certaines routes (trafics, état du sol, etc.), il y a certains éléments sur lesquels il est possible de jouer afin de rendre l’expérience la plus agréable possible : l’équipement ! Un bon matelas de sol isolant ainsi qu’un bon sac de couchage constitue un combo gagnant !

S’entourer d’objets significatifs :
Parce que le voyage est long et parfois « solitaire », glisser quelques objets symboliques dans ses sacoches permet de se prévenir des petits coups durs.

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Recherches

  • Construire dans un environnement bâti : édifier une mémoire du lieu dans la reprise
  • La mise en valeur des intérieurs dans un processus de réhabilitation : les voûtes bancaires
  • Étude de cas : la réhabilitation d’une ancienne salle des douanes
  • Objet(s) littéraire(s) : Colette

Publications

  • Les intérieurs patrimoniaux : entre mémoire et nostalgie
  • Patrimoine industriel : une architecture en danger

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  • Exposition extérieure : scénographie sur plaine
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